Un peu de lecture ? Un polar intelligent, bien construit, des personnages fouillés, qui ont du fond, une histoire, et des thèmes de sociétés en toile de fond. J’ai corrigé la version poche, mais le livre existe aussi en version grand format pour ceux qui préfèrent. Faites-vous plaisir, lisez ce livre, et vous enchaînerez avec tous les livres de Jean-Philippe Lux, c’est certain.
Un peu de lecture pour commencer la journée, le premier livre de Jean-Philippe Lux que j’aie corrigé, que j’ai adoré. Une histoire où deux époques se croisent sur fond de harcèlement scolaire et d’art. Le texte vous touche en plein cœur, vous ne pouvez que l’aimer.
Le mois de mai et ses jours fériés, son temps libre idéal pour lire un peu. Je vous propose une lecture détente, où vous découvrirez le pays des rêves de l'auteure. Parce qu'on a tous besoin de se détendre.
« Deux cœurs brisés pourront-ils à nouveau trouver l’amour ?
Axel est un reporter télé de quarante-cinq ans dont les émissions ont de moins en moins de succès. Angeline est écrivaine de romances, trente-cinq ans, en perte d’inspiration. Leurs chemins vont se croiser pour le pire et le meilleur. Elle va poursuivre ce beau reporter, grognon et pas des plus commodes dans son voyage en Canorve. Avec son bonnet rose, ses couettes, elle cherche à pimenter sa vie et surtout à trouver une nouvelle histoire d’amour à raconter. Pour Axel, c’est le début des ennuis. Et si la Canorve, pays imaginaire aux forêts immenses, aux maisons colorées, aux lacs et sommets enneigés était le meilleur remède pour soigner deux cœurs brisés et leur montrer que l’amour est toujours possible ? »
Bonjour,
Le dernier recueil de poésie de Lili Bonnet vient de sortir. Des textes empreints d’humanité, de soif de justice. Chaque texte qu’elle m’envoie me va droit au cœur, sans exception. Précipitez-vous, achetez le livre.
Lecture jeunesse, mais pas seulement, ou je suis encore jeune dans ma tête (ça doit être ça). Le résumé : « Pendant les vacances d’été, Quentin et son grand-père naviguent paisiblement sur l’océan. Une étrange lumière d’une intensité inégalée perturbe les commandes de leur voilier et les contraint à s’échouer sur une île . Leur existence s’en trouvera à jamais bouleversée… » Une vie bouleversée, c’est vrai. Une vie qui se reconstruit sur la solidarité, la valeur de l’effort, l’union qui fait la force, l’ingéniosité… À mettre entre toutes les mains à partir de 10 ans, à peu près.
Un petit voyage, ça vous dit ? Un séjour dans le monde du cyclisme, mais aussi en Afrique et en Italie. David Noga nous emmène dans un univers de magie, de prophéties, de magouille aussi, entre monde occidental et culture traditionnelle. Un voyage, comme dans tous ses romans.
À seulement 20 ans, Jason Roateng est une star planétaire. Premier Africain vainqueur du Tour de France, les médias se l’arrachent et les sponsors font monter les enchères. Les dollars pleuvent par millions ! Dans son pays, le Ghana, le meilleur cycliste du monde est une légende vivante. Désormais, bien loin de lui la prophétie paternelle : « Un jour, mon fils, tu seras le plus grand marabout du monde ». Au sommet de la gloire, le conte de fées tourne court lorsque Jason, dos au mur, est contraint de s’adresser à la mafia napolitaine pour se sortir d’affaire. Démarre alors un périlleux périple.
Damien Siobud est un auteur atypique au style unique toujours ancré sur le réel. Le tirage au sort a désigné aujourd’hui Le Post de Soissons, paru en 2019, dont je vous livre la quatrième de couverture :
Le livre du jour est LE livre préféré de mon ado, elle a lu certains passages peut-être trente fois, c’est dire. De la magie, des animaux, de la nature, de l’amitié, des choix qui vont tout changer… Tout y est, et c’est un premier roman d’une toute jeune autrice. C’est prometteur. Précipitez-vous, autant pour les adolescents que pour les adultes.
Voici le résumé en ligne :
« Et s’il existait d’autres univers que le nôtre ? Et si la magie faisait partie du quotidien de l’un d’eux ? Et si Peter, jeune garçon sans histoire, s’apprêtait à vivre la plus grande des aventures de sa vie alors qu’il ne faisait que rentrer chez lui comme chaque soir ? »
Une lecture témoignage, aujourd’hui, Younes Bounouara nous raconte ses voyages, sa capacité à rebondir, ses rencontres. Il nous dit surtout que malgré les aléas, on peut toujours aller plus loin, ailleurs, autrement.
Je viens d’entendre qu’aujourd’hui, on nous incite tous à lire au moins 15 minutes dans la journée. Aucun souci, je vais dépasser ce quota, comme tous les jours.
Et pour vous donner des idées, je vous propose d’aller explorer les pyramides égyptiennes, dans un roman construit comme une enquête policière pour arriver à identifier la momie qui vient d’être découverte. Non seulement l’histoire vous tiendra en haleine, mais vous pouvez faire confiance à Hubert Marie Colombier, toutes les informations sur l’Égypte antique sont fiables et très documentées. Vous apprendrez forcément quelque chose.
Un polar haletant et plein d’humour, mais pas que. Un bon Philippe Garenne, comme toujours. Et il est tout neuf !
En vacances à Saint-Jean-de-Luz, Li et Pedro ont pour seule ambition de se détendre et de regarder se lever Belharra, la vague mythique du Pays basque qui se brise entre Ciboure et Hendaye. Seulement, par un de ces hasards dont la vie a le secret, ils se retrouvent au cœur d’un ignoble trafic de chair humaine et d’exploitation sexuelle. Enlèvement, disparition, mystère ! Pedro, en enquêteur, fait face à un jeu de dames.
Un témoignage d’actualité à lire absolument pour comprendre ce qu’on appelle burn-out, ou épuisement professionnel. Didier Robert l’a vécu, il n’imaginait pas ce que ça voulait dire exactement, il l’a appris brutalement. Mais il ne se regarde pas non plus le nombril et ne fait pas dans le larmoyant. Il établit une situation concrète et nous raconte comment lui s’en est sorti.
Lisez-le, vous en saurez plus.
La nouvelle version de Sauvetage vers l’enfer, de Jean-Philippe Lux vient de sortir, disponible sur Amazon et bientôt auprès de lui en format poche. Un livre poignant, deux histoires en parallèle et une chute inattendue et bouleversante. Je vous laisse la découvrir.
Mélanie et Damien vivent à cent à l’heure. Ils ont rarement le temps de souffler tant leur travail est exigeant. Bien loin de toutes ces préoccupations, leur fille, Charlotte, âgée de huit ans. Tout ce qui compte pour elle, c’est de pouvoir aider les autres. Alors qu’ils décident de lever le pied le temps d’un week-end prolongé, Charlotte n’hésite pas à secourir une adorable petite boule de poils d’une mort atroce. À cet instant, elle est loin d’imaginer que cet acte, d’une grande générosité, va les amener, elle et ses parents, à côtoyer un milieu qu’ils n’auraient jamais dû fréquenter. Leur vie de famille, si bien huilée, ne sera alors plus jamais la même…
J’ai appris hier la parution de nouveau bébé de Laurence Blanc chez Le Lion Z’Ailé. Un bijou qui vous prend aux tripes de la première à la dernière page. Je l’ai relu trois fois, j’ai plongé les trois fois de la même façon, avec autant d’émotion. De la très belle littérature. Je vous livre le résumé.
« Mon cher Journal, aujourd’hui, j’ai perdu mon papa et ma maman ». C’est ainsi que Floriane, surnommée Flo, 11 ans, étrenne son journal intime offert par sa mère quelques jours avant le drame.
Vingt ans plus tard, le cœur de Flo se serre lorsque son doigt effleure la couverture de cet ultime cadeau remisé dans une malle, depuis trop d’années. L’émotion la submerge, elle le délivre de sa prison de poussière. Le lendemain, confortablement installée dans le TGV qui la ramène à Paris, elle entame la lecture. Ressurgit alors tout son passé à un âge où l’insouciance l’a déjà quittée.
Relire, c’est revivre ; or, elle aurait tant aimé que ce qui lui fait mal reste enfoui au plus profond d’elle-même. Relire, c’est aussi comprendre, au travers de ses yeux devenus adultes. Deux conditions indispensables pour cicatriser ses peines et peut-être accéder au bonheur.
Un autre livre, beaucoup plus ancien, où vous naviguerez entre la réalité et la « réalité subjective ». Un livre étonnant. J’ai travaillé dessus il y a quelques années, il m’en reste un goût de mystère. Je vous livre le résumé :
« Séparé de sa femme, licencié pour raisons économiques, Léopold plonge dans les affres de l’alcoolisme et son cerveau dérape. Cependant, en cette période trouble de son existence, la maison laissée en héritage par son oncle Marcel pourrait annoncer un cycle faste, un renouveau. Mais rien n’évolue de manière positive et bien malgré lui, Léopold entraîne son fils Théo dans un univers parallèle dans lequel il semble prisonnier.
Inquiet, l’étudiant rejoint son père à La Cuvellerie. Aucune trace de ce dernier entre les murs sinistres. Mais la vieille bâtisse réserve de bien étranges révélations à cet esprit cartésien et matérialiste. Pourtant insensible aux superstitions et à une certaine forme de religiosité, Théo découvre les secrets de ce grand-oncle un peu farfelu dont son père lui a quelquefois parlé. Dès lors, il se balade entre réalité et autres possibles qui suscitent en lui effroi, incrédulité et quête de sens.
Peu à peu, Théo sombre dans un délire mystique qui inquiète les autorités, car le corps de Léopold a été retrouvé. Est-il coupable ? Que s’est-il réellement passé ? Et quel rôle tiennent les Eydelines dans cette extravagante aventure ? Un psychiatre ainsi qu’un inspecteur de police vont tenter de saisir et démêler les fils visibles ou fantasmés qui manipulent le jeune étudiant.
Quant à Théo, plus il avance dans les tréfonds, guidé par Léopold et Marcel (ou du moins ce qu’il en subsiste), plus il croit à sa perte inéluctable pour le genre humain.
Sa farouche volonté à vouloir comprendre ce qui lui arrive et ce qui est advenu de son père et son aïeul aura raison de sa santé mentale. À moins qu’il ne s’agisse là encore que d’un effet d’une réalité subjective aussi capricieuse que les sens par lesquels il tente de l’appréhender. »
Un peu de lecture pour mieux se comprendre, aujourd’hui. Comment fonctionnent nos émotions, ce qu’elles nous disent, comment mieux vivre avec, les accueillir… Un livre très intéressant qui fait du bien.
